« La crise en Ukraine doit être un électrochoc pour l’Union européenne » – Valérie était invitée sur France Inter

© Aymeric Guillonneau

Lors de la matinale du mardi 22 février, Valérie Pécresse a répondu aux questions de Léa Salamé, de Nicolas Demorand et des auditeurs de France Inter. L’occasion de revenir sur la crise ukrainienne et de proposer une nouvelle idée de la France.

1. Une politique européenne forte

Il est inacceptable que l’intégrité territoriale et la souveraineté d’un État soient violées de manière aussi flagrante. Valérie Pécresse condamne sans réserve la décision prise Vladimir Poutine et souhaite que les Européens s’entendent sans délai sur la réaction la plus ferme et sur une stratégie de sanctions immédiates.  Cette crise doit être un électrochoc pour l’Union européenne qui doit accepter de prendre en main son destin et celui de la sécurité du continent tout entier.

Il faut garder une position ferme à l’international, et construire des alliances avec tous les partenaires possibles. « Faire la guerre à l’Ukraine est une erreur majeure, rompre les accords de Minsk, c’est une faute », a ajouté la candidate à l’Elysée, en référence aux accords signés en 2015 censés pacifier l’Est séparatiste de l’Ukraine.

Valérie Pécresse a voulu marqué sa solidarité avec le peuple ukrainien à nouveau éprouvé par l’histoire.

2. Une vraie reconquête républicaine

62 ! Il existe 62 quartiers en France où la République n’a pas sa place. Valérie Pécresse propose une solution simple : punir plus sévèrement délits et crimes commis dans les quartiers de « reconquête républicaine ».

Pour la justice, Valérie Pécresse souhaite un « plan Orsec » :  9 milliards d’euros pour les tribunaux et 16 000 recrutements dont 3 000 juges, 3 000 greffiers et 2 000 procureurs. Elle propose également un retour des peines planchers pour les multirécidivistes, réforme phare de Nicolas Sarkozy, qui avait été supprimé par Christiane Taubira…

3. La mise en place de quotas migratoires

Comme le font de nombreux pays, Valérie Pécresse mettra en place des quotas migratoires afin d’empêcher la poursuite de la « Bérézina migratoire ». Les demandes d’asiles doivent se faire dans la mesure du possible depuis les pays étrangers, traversés par les demandeurs, et non directement en France. Enfin, les demandeurs d’asile déboutés doivent être renvoyés dans leur pays. Appliquons réellement la loi en matière d’immigration et de demande d’asile !

 

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